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Conseil Santé

Les antiseptiques servent à désinfecter les plaies de la peau (coupures, brûlures, ampoules…). Il n’existe pas d’antiseptique “à tout faire” : chacun possède ses indications et ses contre-indications.

Comment désinfecter une plaie ?

1. Lavez-vous les mains.
2. Lavez la plaie avec un savon savon neutre de type Neutroderm ou Cytéal.
3. Rincez (certains antiseptiques ne font pas bon ménage avec le savon !).
4. Séchez en tamponnant avec une compresse stérile.
5. Appliquez l’antiseptique (en spray, directement ou à l’aide d’une compresse stérile comme Biseptine spray [avec alcool] ou Urgo spray Chlorhexidine [sans alcool]
6. Laissez agir une minute.
7. Si le produit est moussant, rincez-le.

Quel antiseptique choisir ?

Certains sont contre-indiqués en cas d’allergie à la Bétadine, d’autres chez les enfants, demandez-nous conseil pour choisir celui qui vous convient.
– N’utilisez pas de produits alcoolisés chez l’enfant (Biseptine, Bétadine Alcoolique).
– N’utilisez pas de colorants type éosine qui n’ont qu’un pouvoir asséchant (surtout sur une plaie sale car ils risquent de masquer les souillures encore présentes).
– L’eau oxygénée a un faible pouvoir antiseptique mais elle limite les saignements.

Adoptez les bons réflexes

1. Jetez un antiseptique entamé un mois maximum après ouverture (notez la date d’ouverture sur le flacon), sauf les flacons spray qui se conservent jusqu’à date de péremption.
2. Fermez le flacon après chaque utilisation.
3. Gardez-les hors de portée des enfants.
4. N’associez jamais plusieurs antiseptiques.
5. N’utilisez pas de savons moussants antiseptiques en usage quotidien.

Quand consulter le médecin ?

1. Si la plaie ou la brûlure sont étendues ou profondes.
2. Si la plaie saigne abondamment.
3. Si la plaie fait suite à un choc sur la tête.
4. Si la plaie s’infecte (suintement, pus).
5. Si votre vaccination antitétanique n’est pas à jour.

Notre recommandation de produits :

1) Pour laver : Neutraderm Savon gel 250ml.
2) Pour aseptiser : Biseptine Spray [Adulte] ou Urgo Chlorexidine Spray [Enfant]
3) Pour panser : Urgo compresse stérile (7,5×7,5 en boîte de 10) + Bande (7cm) ou Sparadrap Urgopore (5mx2,5cm).

Votre bébé est enrhumé ? Parce qu’avant 3 ans, il ne sait pas se moucher comme un grand, il a besoin de vous pour se soigner ! Pour diminuer les symptômes de la rhinopharyngite, soulager votre enfant et éviter la progression de l’infection, il est essentiel d’éliminer régulièrement les mucosités. Comment moucher Bébé ? ProRhinel, marque experte en solutions nasales pour toute la famille, propose une méthode en 2 étapes.

Les nourrissons respirent uniquement par le nez, sauf quand ils pleurent ou sont enrhumés. Avant l’âge d’un an, ils ne savent pas ou mal respirer par la bouche. De fait, moucher Bébé est absolument nécessaire lorsque ce dernier a le nez encombré, même si ce n’est pas toujours facile ou agréable, que ce soit pour les parents ou pour l’enfant. Le mouchage régulier de votre bébé permet également d’éviter une surinfection. Un rhume peut en effet se transformer en otite, en conjonctivite, en sinusite aiguë, en bronchite ou en bronchiolite. Enfin, parce qu’une rhinopharyngite peut altérer l’alimentation et le sommeil, il est plus que nécessaire de prendre soin de votre bout d’chou dès les premiers symptômes.

Quels sont les symptômes du rhume ?

Un bébé enrhumé respire par la bouche, ce que vous pouvez remarquer s’il ne supporte plus sa tétine, s’il est agité et grognon (car fatigué par la respiration buccale) ou s’il mange moins. Vous remarquerez aussi qu’il a le nez bouché, qu’il a mal à la gorge, les yeux rouges et des ganglions gonflés (sur le cou, la nuque). Il peut aussi éternuer, tousser et présenter de la fièvre (jusqu’à 38,5°C).

Comment moucher Bébé ?

Pour moucher Bébé, il est essentiel de faire preuve de douceur et de précision. ProRhinel, marque de GlaxoSmithKline Santé Grand Public, propose la « Méthode ProRhinel » en 2 étapes, pour moucher votre enfant dans les règles de l’art.

Première étape : laver le nez de Bébé

Nettoyer le nez du nourrisson avec une solution nasale adaptée permet d’humidifier les fosses nasales, de fluidifier les sécrétions sèches et de faciliter le mouchage.

Deuxième étape : utiliser le mouche Bébé

Un mouche bébé est un accessoire de puériculture qui permet d’éliminer les sécrétions nasales, de dégager les mucosités, de libérer le nez de Bébé et ainsi favoriser sa respiration. Il existe des mouche bébés manuels et électriques. Nous vous conseillons d’utiliser le mouche bébé ProRhinel, manuel. Grâce à son système d’aspiration buccale, vous pouvez adapter la force d’aspiration à l’encombrement du nez de votre bébé, de sorte qu’il soit mouché tout en douceur. Et rassurez-vous, le mouche bébé est parfaitement hygiénique grâce à son filtre absorbant qui empêche les mucosités de parvenir à votre bouche !

Là encore, l’opération n’est pas très appréciée des tout petits, mais essentielle pour désencombrer efficacement leur nez. N’ayez pas peur de faire mal à votre enfant, le mouche bébé ProRhinel a été étudié pour faire cette étape en douceur : ces embouts sont en plastique souple pour ne pas blesser, le mouche bébé est ergonomique pour une bonne prise en main, et le tube est suffisamment long pour pouvoir vous installer confortablement et ne pas être couché sur votre bébé.

J’ai les jambes lourdes, que m’arrive-t-il ? Jambes lourdes, tendues, très sensibles en fin de journée, gonflement des chevilles ou des mollets, picotements… Pas de doute, vous avez tous les signes d’une insuffisance veineuse superficielle. Nos pharmaciens vous donnent leurs astuces pour soulager cet inconfort.

Symptômes des jambes lourdes

La sensation de jambes lourdes est un symptôme à ne pas prendre à la légère. D’autant plus si les symptômes de jambes lourdes sont majorés en cas de:

– station debout ou assise prolongée;
– long voyage en avion ;
– modifications hormonales (puberté, grossesse, contraception, ménopause);
– surpoids ou obésité ;
– exposition prolongée au soleil ou période de forte chaleur.

D’autres symptômes, moins fréquents et non caractéristiques de cette pathologie, peuvent apparaître comme des impatiences nocturnes, des varicosités très fines et bleutées au niveau des chevilles, des lésions cutanées (ex : dermites pigmentées).

Ce désagrément des jambes lourdes est fréquent puisqu’il touche environ 18 millions de Français dont 70 % de femmes (1 femme sur 2), mais les hommes ne sont pas épargnés pour autant. Ce phénomène a tendance à augmenter avec l’âge et reflète un mauvais fonctionnement de la circulation sanguine.

Jambes lourdes : quelles en sont les causes ?

L’insuffisance veineuse responsable de la sensation des jambes lourdes est due à une mauvaise circulation du sang au niveau du système veino-lymphatique.

Le sang circule dans le corps par le réseau composé des artères, veines et capillaires. Les artères transportent le sang riche en oxygène et en nutriments indispensables, du cœur vers les organes et les tissus du corps. En retour, les veines assurent la circulation du sang chargé en gaz carbonique et en déchets cellulaires rejetés par les cellules, depuis les organes vers le cœur.

Ce retour sanguin veineux est difficile car il doit progresser des membres inférieurs vers le cœur en luttant contre les lois de la pesanteur. Il s’effectue grâce à la pression exercée par la plante des pieds et la contraction des muscles du mollet lors de la marche et par la contraction du système abdomen-diaphragme. Les veines possèdent sur leurs parois des valvules qui agissent comme des clapets empêchant le sang de redescendre vers les pieds.

Contrairement aux artères, les veines ont une paroi fine et pauvre en fibres élastiques. Le retour veineux est donc moins efficace lorsque cette paroi est fragilisée (en cas de forte pression sanguine) ou lorsque les valvules sont moins performantes. L’insuffisance veineuse s’installe progressivement. Elle affecte surtout les veines superficielles (drainage de 10 % du sang) et représente le premier stade de la maladie veineuse chronique.

Comment soulager les symptômes de jambes lourdes ?
L’hygiène de vie

Quelques bonnes pratiques faciles à adapter au quotidien:
– surélever les jambes en position allongée
– pratiquer régulièrement un sport (ex : marche, natation), éviter les sports violents (tennis)
– préférer les escaliers aux ascenseurs pour faire travailler la plante des pieds et les mollets
– éviter les bains chauds et privilégier les douches (avec jet d’eau fraîche sur les jambes de la cheville vers le genou)
– proscrire les expositions prolongées à la chaleur (bains de soleil, ancien chauffage au sol).

La Contention

La contention par compression des veines est le traitement le plus efficace. Plusieurs dispositifs de contention (bas, chaussettes ou collants) sont disponibles en pharmacie sur prescription médicale. Élastiques, fins, confortables et de coloris variés, ils limitent la dilatation des veines par pression, améliorent la vitesse d’écoulement du sang veineux et apportent un réel confort en position debout prolongée.

Les conseils de nos pharmaciens pour lutter contre les jambes lourdes

Nous saurons vous conseiller pour lutter contre la sensation de jambes lourdes. Si les symptômes persistent, consulter votre médecin.

Conseils Beauté

Opter pour le bon indice de protection solaire

Le FPS (Facteur de Protection Solaire) ou SPF en anglais est mentionné sur les emballages et signale le niveau de protection contre les UVB du produit. En effet, les UVB sont les plus dangereux car ce sont eux qui brûlent l’épiderme et provoquent des coups de soleil sur une peau insuffisamment protégée par les pigments de mélanine et ils sont à l’origine de 90% des cancers de la peau.

Attention également aux UVA puisque ils ne sont pas inoffensifs. Au contraire, ils pénètrent plus profondément dans le derme et provoquent une destruction des fibres de collagène et d’élastine qui assurent la tonicité de la peau.

Conformément à la réglementation européenne, les crèmes solaires doivent garantir une protection UVA au moins égale au tiers de la protection UVB. Par exemple pour un facteur de protection de 30 pour les UVB, la protection contre les UVA sera au minimum de 10.

Le choix de l’indice de protection ou SPF dépend à la fois du type de peau et des conditions d’ensoleillement (plage horaire, durée de l’exposition, altitude, latitude, mer, montagne…). Plus la peau est claire (phototype 1), plus l’indice de protection doit être élevé.

Il existe 4 catégories de produits solaires selon les SPF :

– Protection faible : SPF de 6 ou 10
– Protection moyenne : SPF de 15, 20 ou 25
– Protection haute : SPF de 30 ou 50
Très haute protection : SPF de 50+

Cependant, dans les hautes protections, la différence entre deux indices devient minime puisque un produit SPF 30 filtre 96.7% des rayons UVB contre 98% pour un produit SPF 50. Car en pratique c’est le respect du mode d’emploi qui compte. Il est en effet prouvé qu’une diminution de 50% de la dose à appliquer entraine une diminution d’efficacité de 75%. Autrement dit, un produit d’indice 20 ou 30 appliqué généreusement partout est souvent plus efficace qu’un produit d’indice 50 appliqué qu’une seule fois dans la journée. Connaitre son type de peau pour bien la protéger

Résumé des phototypes pour bien choisir sa crème solaire :

Phototype 0 : peau qui brûle très facilement et ne doit jamais s’exposer (albinos, population sans mélanocytes).
Phototype 1 : peau très claire, blanche, cheveux blond ou roux, yeux bleus ou verts et taches de rousseur apparaissant rapidement en cas d’exposition, brule facilement au soleil et ne bronze jamais.
>> Très haute protection obligatoire
Phototype 2 : peau très claire qui peut devenir halée, des cheveux blonds ou châtains clairs des taches de rousseurs qui apparaissent au soleil, brule facilement et bronze légèrement.
Phototype 3 : peau moyenne, des cheveux blond ou châtains, peu ou pas de tache de rousseur, brule modérément et bronze petit à petit
>> Très haute protection ou haute protection
Phototype 4 : peau mate, cheveux châtains ou bruns aucune tache de rousseur, brule a peine et bronze toujours bien.
>> Protection moyenne ou haute protection
Phototype 5 : peau brune foncée, naturellement pigmentée, cheveux et yeux noirs : brule rarement et bronze beaucoup.
Phototype 6 : peau noire, cheveux et yeux noirs, ne brulant pas
>> Faible protection ou moyenne protection

De plus, la présence de nombreux grains de beauté sur le corps est un facteur de risque important pour le développement d’un cancer cutané surtout si ces grains de beauté (nævi) sont en quantité supérieure à 50 et mesurent plus de 2 mm: ils sont à protéger impérativement du soleil.

Quels filtres solaires choisir ?

Ecrans minéraux : dioxyde de titane, oxyde de zinc : ils agissent par réflexion et dispersion de UVA et UVB, ils ne présentent pas de risque d’allergie mais peuvent laisser un aspect légèrement blanc sur la peau. Ils sont conseillés pour les enfants notamment ou pour les peaux intolérantes.
Ecrans organiques (Tinosorb M et S) : ils ont une action réfléchissante et absorbante et ont une très bonne tolérance car ils protègent aussi bien contre les UVA que les UVB.
Filtres chimiques ou de synthèse (Octocrylène, Méroxyl…) : ils assurent la protection cutanée par absorption sélective des UV et sont très efficaces et bien supportés.

Enfin, ces filtres peuvent être enrichis de composants anti radicalaires, antioxydants, anti-âge et hydratants qui sont là pour neutraliser les radicaux libres générés par les UV et donc empêchent le vieillissement prématuré de la peau.

Il est possible aussi de trouver dans les crèmes solaires des composants adaptés pour peaux mixtes et grasses, pour peaux sensibles et atopiques, pour protéger plus spécifiquement de l’apparition d’un herpès… demander alors conseil à votre pharmacien.

A savoir

Les cellules du cuir chevelu se renouvellent sans cesse sans que l’on s’en rende compte. Les pellicules apparaissent lorsque ce renouvellement s’accélère de façon anormale.

On distingue :

Les pellicules sèches : elles tombent comme de la neige sur la nuque et les épaules et démangent rarement.
Les pellicules grasses : associées à un excès de sébum et à des démangeaisons du cuir chevelu, elles sont souvent plus grosses, jaunes et adhèrent aux cheveux.

Elles peuvent être liées à des circonstances particulières (stress, shampooings décapants…), au développement d’un champignon et/ou à une maladie dermatologique.

Nos conseils

A chaque cas son traitement Les traitements antipelliculaires sont très spécifiques du type de pellicules à traiter. Ils peuvent contenir – de façon combinée ou non – des produits contre les champignons, contre les démangeaisons ou favorisant l’évacuation des pellicules.
Le traitement d’attaque Assainissez votre cuir chevelu à l’aide d’un complexe d’huiles essentielles et/ou d’un gel traitant antipelliculaire que vous appliquerez 10 minutes deux fois par semaine avant chaque shampooing. Utilisez un shampooing antipelliculaire « d’attaque » qui correspond à vos symptômes.
Le traitement d’entretien Quand l’état du cuir chevelu s’est amélioré, espacez le traitement d’attaque. Prenez progressivement le relais avec un shampooing antipelliculaire d’entretien ou à base de plantes ou encore un shampooing doux. Chaque matin, en complément, vous pouvez frictionner votre cuir chevelu avec une lotion antipelliculaire sans rinçage.

Adoptez les bons réflexes

Quel que soit le shampoing, effectuez un massage doux du cuir chevelu, rincez et procédez à une deuxième application. Attendez quelques minutes avant de rincer soigneusement.
En cas de pellicules sèches, rincez plutôt à l’eau tiède. En cas de pellicules grasses, rincez plutôt à l’eau fraîche.
N’utilisez pas de shampooing antipelliculaire plus souvent que votre shampooing habituel et, dans tous les cas, pas plus de 3 fois par semaine. Si besoin, intercalez avec un shampooing doux.
Ne ralentissez pas non plus votre rythme de lavage, contrairement aux idées reçues, ça ne diminue pas les états pelliculaires.
Limitez le sèche-cheveux, les brushings, le brossage trop énergique des cheveux.

Pour aller plus loin

Evitez les récidives :

Attention aux colorations et permanentes répétées qui abîment le cuir chevelu.
N’utilisez pas de shampooing bébé (non adapté à un cuir chevelu adulte).
Prenez l’habitude de masser les cheveux et le cuir chevelu doucement pendant le shampooing (de la nuque vers le sommet du crâne par mouvements circulaires).
Evitez les shampooings secs.
Protégez vos cheveux quand vous êtes au soleil, à la plage à la piscine (chapeau, huiles protectrices…).

Quand consulter le médecin ?

Si les pellicules persistent.
Si elles s’accompagnent de troubles de la peau (excès de sébum, apparition de boutons…) ou d’une chute de cheveux.

La peau est l’organe le plus étendu du corps humain et constitue la principale barrière protectrice de l’organisme face aux éléments extérieurs. Elle a pourtant tendance à être négligée et il est parfois difficile de savoir comment en prendre soin au quotidien. Si l’hygiène est le premier réflexe à avoir, il ne faut pas mettre de côté les deux éléments indispensables à la beauté de la peau : le gommage et l’hydratation. Pour prendre convenablement soin de la peau de son corps et la rendre plus belle, il est nécessaire de procéder régulièrement à un gommage corporel puis à l’application d’un soin hydratant. Pourquoi sont-ils indispensables ? Comment procéder à une exfoliation efficace et à une hydratation optimale ? Comment choisir les meilleurs produits adaptés aux besoins de votre peau ? Pharma GDD vous livre ses conseils et vous guide dans l’univers du gommage et de l’hydratation du corps.

Pourquoi gommer et hydrater sa peau ?

Le gommage et l’hydratation du corps sont deux gestes beauté à adopter afin de prendre soin de sa peau et la rendre plus belle, plus douce, plus souple. Ce sont également des gestes qui vont la préserver, la protéger et l’aider à se défendre au quotidien. En effet, la peau du corps est régulièrement mise à rude épreuve par les éléments extérieurs ainsi que par nos conditions de vie. Ainsi, les conditions climatiques et notamment le vent, le froid et le soleil ont un impact sur la peau. Le film naturel qui la protège s’assèche et devient perméable, l’exposant ainsi à la pollution, à la poussière et aux rayons UV responsables du vieillissement prématuré. Nos conditions de vie ont également une incidence sur la qualité et l’état de notre peau. La climatisation, le chauffage, les produits d’hygiène agressifs, la consommation d’alcool ou de tabac sont autant de facteurs qui entraînent le dessèchement de la peau et la rendent plus terne. Face à ces éléments que nous ne pouvons pas toujours contrôler, le gommage et l’hydratation permettent de prendre bien soin de la peau. Ce sont deux étapes complémentaires qui ont des bienfaits bien particuliers.

Le gommage

L’exfoliation, aussi appelée le gommage, est un procédé qui consiste à éliminer les cellules mortes et les impuretés qui s’accumulent à la surface de la peau et obstruent les pores, l’empêchant ainsi de « respirer ». Il stimule le renouvellement cellulaire et la micro-circulation sanguine à la surface de la peau. Cela lui permet de retrouver rapidement son éclat et sa douceur. L’exfoliation du corps est également une étape indispensable qui prépare la peau à l’application des produits suivants. Grâce au gommage, la pénétration des actifs est améliorée et les soins, notamment hydratants, sont plus efficaces. Enfin, gommer la peau permet de faire disparaître les irrégularités et les imperfections, la rendant ainsi plus belle, plus lisse et plus douce. Le gommage doit être réalisé idéalement avant l’hydratation du corps afin que la peau puisse profiter au maximum des bienfaits de chaque étape. Il est recommandé de faire un gommage une à deux fois par semaine pour de meilleurs résultats.

L’hydratation

L’hydratation est indispensable pour le corps et pour la beauté de la peau. En effet, c’est elle qui permet le bon fonctionnement des cellules et donc d’avoir une peau en pleine santé. On reconnaît souvent une peau mal hydratée à son aspect terne. Une hydratation insuffisante ou inexistante entraîne également un manque de confort et l’apparition de désagréments comme des tiraillements, des rugosités ou des zones de sécheresse. Cet inconfort cutané est pénible au quotidien mais peut être soulagé par l’application de soins hydratants. Une peau bien hydratée retrouve rapidement de l’éclat. Elle est aussi plus résistante aux agressions extérieures, plus douce, plus ferme, tout simplement plus belle. L’hydratation complète ainsi le gommage et apporte à la peau tous les éléments dont elle a besoin.

Comment choisir et appliquer son gommage ?

De nombreuses possibilités existent pour gommer sa peau. De nombreux gommages pour le corps ont en effet été développés par les marques de cosmétiques, à tel point qu’il est parfois difficile de s’y retrouver. Plusieurs éléments sont à prendre en compte dans le choix d’un gommage corporel.

Un gommage selon son type de peau

Dans un premier temps, il faut avant tout choisir un exfoliant adapté à votre type de peau. Les peaux à tendance grasse, souvent plus épaisses, peuvent choisir des gommages un peu plus puissants que les peaux sèches ou réactives qui ont besoin d’une exfoliation plus douce et respectueuse. Le gommage doit convenir à la nature de la peau, l’objectif n’étant pas de l’agresser mais de la débarrasser en douceur des impuretés. Veillez donc à choisir un produit ou une technique qui corresponde aux besoins et aux problématiques de votre peau. Une fois que vous avez déterminé l’intensité d’exfoliation nécessaire à votre type de peau vous devez choisir votre gommage parmi les nombreux produits disponibles. En cosmétique, on retrouve d’un côté les gommages conventionnels et de l’autre les gommages naturels et biologiques. Ces deux types de gommages ne se valent pas.

Les différents types de gommage

Les gommages conventionnels sont très controversés en raison de leur composition. Ils contiennent des particules exfoliantes de synthèse à base de polymère, c’est-à-dire de plastique, que l’on retrouve sous le nom de polyéthylène dans la liste des ingrédients. Ces particules ne sont pas biodégradables, ne sont pas filtrées et sont rejetées dans les océans, perturbant ainsi l’écosystème marin. Les exfoliants conventionnels contiennent également des ingrédients parfumants, des conservateurs de synthèse et des agents filmogènes dangereux pour l’environnement. Si ces gommages ont une action exfoliante efficace, ils sont aussi irritants pour la peau et posent un réel problème écologique. La loi Biodiversité adoptée en 2016 interdit d’ailleurs depuis le 1er janvier 2018 l’utilisation de microparticules plastiques dans les produits de beauté, en particulier les gommages. Une bonne raison de préférer une exfoliation plus naturelle et respectueuse.

Les gommages naturels et biologiques se distinguent par leur formulation. Les particules exfoliantes sont issues de la nature et généralement plus douces pour la peau tout en restant efficaces. Elles sont obtenues à partir d’actifs tels que la cellulose, l’argile, le sucre, les noyaux de fruits ou les graines broyés et réduits en poudre. Pour faciliter l’application du gommage sur le corps, ces ingrédients naturels sont associés à des huiles ou des beurres végétaux, de la glycérine végétale ou des extraits d’algues. Les gommages naturels ont ainsi une double action gommante et nourrissante. Ils n’ont pas d’effet décapant et ne rejettent pas de déchets chimiques et toxiques dans l’environnement. Il est donc préférable de choisir ce type de gommage corporel, tant pour le plaisir d’utilisation et l’efficacité que pour l’aspect écologique. De nombreuses marques, bio ou non, se lancent dans le développement de ces gommages naturels.

Si vous recherchez une exfoliation sans grains vous pouvez vous tourner vers les gommages enzymatiques. Ce type de gommage, très doux, est composé de particules enzymatiques qui éliminent les cellules mortes en les décollant délicatement. Comme les autres gommages, ils lissent la peau, stimulent le renouvellement cellulaire et affine le grain de peau. Ils s’adaptent à tous les types de peaux, sont moins agressifs, agissent rapidement et ont l’avantage de pouvoir être utilisés tous les jours grâce à leur grande douceur. Ils peuvent par exemple être appliqués sur les mains ou les pieds pour les rendre doux, réduire les taches dues au soleil ou les callosités.

Comment appliquer un gommage ?

Quel que soit le gommage que vous choisissez, la technique d’application est la même. Sur peau humide, appliquez le gommage en massant le corps avec des mouvements circulaires, de préférence du bas vers le haut pour relancer la circulation sanguine. Insistez sur les zones rugueuses comme les talons, les genoux et les coudes. Vous pouvez gommer l’intégralité de votre corps avant de rincer.

Il est possible de réaliser un gommage corporel sans produit, simplement avec une brosse ou un gant exfoliant adapté. Ce type de gommage s’effectue à sec, cinq à dix minutes avant la douche. Comme pour un gommage classique, il s’agit de faire des mouvements circulaires en allant du bas vers le haut du corps. Le gommage à sec est un peu plus puissant que le gommage sur peau humide, il faut éviter les zones sensibles et choisir une brosse ou un gant qui allie douceur et fermeté. Cette technique d’exfoliation rend la peau plus tonique, plus souple et permet de stimuler la circulation sanguine et lymphatique, favorisant l’élimination des toxines.

Vous pouvez également vous inspirer des rituels de beauté orientaux en choisissant de gommer votre peau avec un gant de Kessa. Élaboré en fibres végétales, ce gant est utilisé dans les hammams, associé au savon noir, un exfoliant naturel qui laisse la peau soyeuse. Ce savon a l’avantage de convenir à tous les types de peaux et d’être nourrissant. Vous pouvez aussi utiliser le gant de Kessa avec votre produit lavant habituel, le gommage étant effectué par le simple passage du gant.

Recette de gommage maison

Dernière possibilité pour un gommage corporel : le fait maison. C’est une alternative rapide, facile, économique et surtout écologique. C’est également la garantie de connaître tous les ingrédients qui composent votre soin et de l’ajuster en fonction des besoins et des problématiques de votre peau. Fabriquer son exfoliant pour le corps soi-même est un geste simple qui demande peu d’ingrédients et peut être réalisé à partir de ce que vous avez dans votre cuisine. L’idéal est d’associer un ingrédient solide pour l’exfoliation (sucre, sel, riz, semoule…) et un ingrédient plus mou voire liquide aux propriétés nourrissantes et hydratantes (huile végétale, beurre de karité, miel, yaourt…).

Nous vous proposons une recette de gommage maison à base de marc de café et d’huile de coco, un mélange radical contre la cellulite. Le marc de café apporte les particules gommantes et son action anti-cellulite grâce à la caféine qu’il contient tandis que l’huile de coco nourrit et hydrate. Pour un gommage du corps entier, mélangez deux cuillères à soupe de marc de café et une cuillère à soupe bien remplie d’huile de coco. Appliquez sur la peau en massages circulaires puis rincez soigneusement.

Comment choisir et appliquer son soin hydratant ?

Comme pour le gommage, il existe de nombreuses options en matière d’hydratation. Les soins hydratants peuvent se présenter sous différentes textures et ont chacun des bienfaits particuliers. Là encore il faut examiner certains éléments avant de choisir le meilleur soin hydratant pour votre peau.

A chaque peau son soin hydratant

Une peau normale n’aura pas les mêmes besoins qu’une peau atopique et ne se tournera donc pas vers le même soin hydratant. Une peau normale est une peau équilibrée qui ne rencontre pas de problèmes particuliers mais qui a malgré tout besoin d’être hydratée. Dans ce cas, les soins hydratants légers et frais ou les huiles sèches sont de bonnes solutions car ils ne laissent pas de film gras et apportent la dose d’hydratation suffisante. Les peaux sèches et très sèches sont quant à elles souvent sujettes à un certain inconfort qui se manifeste par des tiraillements, des rougeurs et des zones de sécheresse. Pour ce type de peau, il faudra privilégier les laits hydratants, les baumes ou les huiles plus riches et enrichis en actifs hydratants et nourrissants. Enfin, les peaux réactives et à tendance atopique sont fragilisées et poreuses et laissent l’eau s’évaporer de l’épiderme, le rendant ainsi perméable aux allergènes. Pour soulager et apaiser la peau tout en reconstituant son film hydrolipidique, les soins hydratants aux formules neutres, émollientes et hypoallergéniques sont les plus adaptés. Ils restaurent et réparent progressivement la barrière naturelle de la peau. Pour en savoir plus sur les différents types de peaux et les soins adaptés, consultez notre fiche conseil : “Reconnaître et entretenir chaque type de peau”.

Si elle est indispensable à la suite d’un gommage, l’hydratation est un geste essentiel au quotidien. Une à deux fois par jour, sur une peau propre et sèche, l’hydratation est garante d’une peau visiblement plus belle, plus lisse, plus douce et protégée des agressions extérieures. C’est une étape indispensable lorsque l’on veut prendre soin de son corps, à adapter en fonction des besoins et des problématiques de la peau, en respectant sa sensibilité.

Que retenir ?

En définitive, le gommage et l’hydratation sont deux gestes beauté indispensables pour prendre soin de la peau. Effectués régulièrement, ils sont complémentaires et apportent chacun leurs bienfaits. Le gommage élimine les cellules mortes et les impuretés pour favoriser la pénétration des actifs hydratants. Vous pouvez choisir d’utiliser un gommage conventionnel ou plus naturel, opter pour le gommage à sec ou le fabriquer vous-même. Dans tous les cas, privilégiez un gommage doux et respectueux de votre peau. Pour ce qui est de l’hydratation, votre soin doit être adapté à votre type de peau et à ses besoins. Il faut également tenir compte de la saison pour choisir le soin le plus approprié en termes de texture et de bienfaits. Le gommage et l’hydratation sont deux étapes essentielles à adopter pour avoir une peau en pleine santé et visiblement plus belle.

Conseils Diététique

Le repas n’est pourtant pas si loin qu’une petite pensée s’immisce tout doucement (ou brutalement) dans votre cerveau, vous envoyant un message “je mangerais bien quelque chose ! ”

Si c’est le cas c’est que vous faites partie des 61% de personnes qui grignotent entre les repas de manière occasionnelle ou régulière ! Ce “quelque chose” est dans la plupart des cas un aliment sucré, gras, riche en calories et qui risque donc fort de faire pencher la balance du mauvais côté…

Mais ce grignotage : est-ce par faim ou par compulsion, par besoin ou envie ? Comment éviter de grignoter et comment diminuer cette véritable addiction ? Découvrez les solutions à votre disposition !

Grignoter : qu’est-ce que c’est ?

Le grignotage est ce mauvais réflexe qui pousse à manger sans faim, par ennui, stress, anxiété ou tout simplement par habitude. Mais si le grignotage est réalisé de façon compulsif ou même apaisé le risque est d’entrainer un déséquilibre, pas que de la balance mais aussi sur la composition des repas principaux.

Et oui ! Car quand la faim est moindre au moment de passer à table, l’envie de manger certaines catégories d’aliments l’est tout autant. Les raisons du grignotage sont multiples : stress, fatigue, gourmandise, besoin de réconfort mais en général le choix se tourne vers des aliments gras et sucrés. Ainsi, les aliments grignotés à toute heure de la journée ne sont pas sans incidence sur la santé et peuvent générer des problèmes de poids. (Découvrez comment calculer son poids idéal en fonction de ses spécificités).

Alors grignotage ou fringale ? La fringale compulsive est une maladie mentale à part entière reconnue par les spécialistes en psychiatrie. Elle est également appelée hyperphagie boulimique et elle correspond à une définition médicale bien précise et pathologique. C’est à dire que les aliments pris en dehors des repas sont absorbés en un très court laps de temps (moins de 2 heures et à rythme nettement plus rapide que la normale) et la quantité de nourriture absorbée est alors très importante mais sans la sensation de faim physique. La prise de nourriture est généralement effectuée en cachette et de manière très rapide jusqu’à une sensation d’inconfort physique due à la distension de l’estomac trop plein et donc jusqu’à l’apparition de douleurs abdominales.

A ce comportement sont aussi associés une perte du contrôle alimentaire (c’est-à-dire un sentiment de ne plus pouvoir s’arrêter de manger, de ne pas pouvoir contrôler la qualité et la quantité des produits), une sensation de souffrance importante et un sentiment de profonde culpabilité pendant la crise.

Alors ATTENTION, le grignotage gourmand est normal et considérer d’une tartelette aux fruits d’un côté ou un carré de chocolat (pas la tablette !) d’un autre ne fait pas de votre alimentation une conduite pathologique. Cependant en cas de doute sur sa conduite alimentaire, consulter impérativement un médecin traitant ou un médecin nutritionniste.

Il ne faut pas non plus confondre le grignotage plaisir avec la véritable faim car à côté du grignotage ou n’importe quel aliment peut faire l’affaire (une boite de biscuits ouverte, des bouts de fromage en cuisinant..), il est possible de ressentir une véritable faim provoquant alors la nécessité de rechercher immédiatement de la nourriture car notre organisme nous envoie des signaux de « baisse de carburant ». En effet, l’arrivée d’une hypoglycémie (baisse du taux de sucre dans le sang) chez les gens qui n’ont pas de soucis particuliers de santé est souvent due à une mauvaise répartition de l’alimentation au cours de la journée et non à un mauvais comportement alimentaire.

Les causes peuvent être diverses : prise d’un petit déjeuner très tôt le matin sans prise associée de sucres lents. Car il ne faut pas oublier que la prise de sucre rapide déclenche la production immédiate d’insuline et donc une hypoglycémie réactionnelle très rapide.

Comment éviter le grignotage ? Et comment l’arrêter (ou le diminuer fortement) ?

Existe-t-il vraiment des trucs et astuces pour arrêter le grignotage ?

La réponse est oui !

1 – Buvez, buvez et buvez… de l’eau. On ne le répètera jamais assez mais le corps est constitué à 60-70% d’eau et l’eau permet, en plus de ses fonctions d’élimination, une meilleure assimilation des nutriments présents dans les aliments. Boire tout au long de la journée de petites gorgées d’eau additionnée d’un jus de pur citron a un effet sur une satiété durable. Le thé vert aussi peut être consommé pour ses effets brule graisses et diurétiques.

2 – Le petit déjeuner du matin doit être intelligent : c’est-à-dire apporter au moins 25% de l’énergie de la journée et être constitué de produits permettant d’éviter le coup de fringale vers 10 ou 11 heures le matin. Par exemple : pain complet, source de protéine maigre (jambon, œuf, surimi, laitage nature) et des fruits.

3 – Prendre le temps de mâcher et de savourer son repas : pour cela 20 minutes sont nécessaires au minimum pour que l’estomac reçoive le message de satiété du cerveau. Il faut donc mâcher et surtout mâcher lentement.

4 – Ne pas attendre d’avoir faim pour manger : en effet manger à heure fixe permet d’instaurer un cycle de 4 heures entre les repas et l’organisme ne synthétise alors plus autant d’insuline lorsque le rassasiement se fait à des intervalles fixés. D’où l’importance des collations (et non pas grignotage !) éventuellement en milieu de matinée si le petit déjeuner est très tôt mais surtout l’après-midi pour éviter d’être tiraillé par la faim à l’heure du diner.

5 – Faire le ménage dans ses placards permet d’éliminer tout simplement les éléments trop tentants…

6 – Quand la tentation devient trop forte faire autre chose : téléphoner à un ou une ami(e), chanter, écrire, danser, faire du sport sont des exemples d’activités pouvant donner autant de plaisir qu’un pain au chocolat et détourner son attention du grignotage…

7 – Limiter le stress car il entraîne une augmentation du cortisol, hormone qui booste l’appétit et miser alors sur des aliments “zen”. Ceux sont ceux qui contiennent du magnésium (fruit et légumes secs), des acides gras de types oméga 3 (poissons gras, huiles de colza et de noix par exemple) et de la vitamine B6 pour favoriser l’assimilation du magnésium (céréales complètes, viandes, volailles…).

8 – C’est le soir que tout dérape après un contrôle drastique de la journée ? Alors pour anticiper les pulsions du soir il est possible de réserver un féculent (morceau de pain par exemple) ou le dessert (laitage, fruit ou mieux riz ou semoule au lait) pour le moment où la pulsion de grignotage se fera sentir et de prendre alors ce produit calmement avec une infusion juste avant d’aller se coucher.

9 – Apprendre à se faire plaisir : pourquoi manger une pomme au dessert alors que c’est la tarte aux pommes qui vous tente ? En prendre alors une petite part et la savourer plutôt que de manger la pomme en ne pensant alors qu’à la tarte ! Il suffit ensuite d’équilibrer le reste du repas et de la journée.

Et en pharmacie ?

Auparavant, en pharmacie (et sur prescription médicale uniquement) ont été délivrés les tristement célèbres dérivés d’amphétamines qui constituaient la base des coupes faims. Hypertension artérielle pulmonaire, accident cardiovasculaire et autres pathologies ont prouvés que leurs effets secondaires étaient bien supérieurs à leurs bénéfices en termes de gestion de l’alimentation. Seul un médicament avec cette indication de coupe faim et anti-obésité reste disponible en France (Xenical®) et uniquement sous haute surveillance médicale.

Aujourd’hui ces coupes faim sont plus du domaine du complément alimentaire et ils sont surtout d’origine végétale.

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